Paroles – Transition Balnéaire

L’appel de la Mer

J’entends le bruit de l’eau,
J’entends le bruit des vagues.
S’échouer sur le rivage,
S’écraser sur mon dos.

Je me laisse dériver,
L’eau salée me maintient.
Mon cœur s’est emballé,
Il palpite pour un rien.

C’est l’appel de la mer,
Tout droit j’y ai foncé,
Son bleu profond m’éclaire,
Me fait tout oublier.

C’est l’appel de la mer,
Tout droit j’y ai foncé,
Le chant des flots prospères,
M’a encore ensorcelé.

Un rayon de soleil,
Perce les rouleaux concentriques
On aperçoit l’éveil,
De la faune aquatique.

Les dunes au loin sont floues,
Les cormorans aussi.
Pourquoi rester debout,
Laisse toi flotter ici.

C’est l’appel de la mer,
Tout droit j’y ai foncé,
Son bleu profond m’éclaire,
Me fait tout oublier.

C’est l’appel de la mer,
Tout droit j’y ai foncé,
Le chant des flots prospères,
M’a encore ensorcelé.

Sur le sable je ruisselle,
Corps iodé rafraîchit.
Je regarde le ciel,
L’immensité m’envahit.

Plaisir balnéaire,
D’enfant décomplexé,
La baignade est un jeu,
Et la vie tout autant.

Poètes urbains

Nous sommes tous des poètes urbains,
Ignorant notre pouvoir certain.
Condamnés à des tâches sans fin,
Répétition de schémas lointains.

Nous sommes tous des poètes urbains,
Ignorant notre pouvoir certain.
Sisyphe modernes sans le savoir,
Croyant être libres, ivres dans les bars.

Les verres s’enchaînent et t’enchaînent,
Lueur d’espoir puis désespoir.
Tes peurs s’en vont puis reviennent,
Toujours plus fortes hors du tiroir.

Nous sommes tous des poètes urbains,
Ignorant notre pouvoir certain.
Sisyphe modernes sans le savoir,
Conditionnés par tous les pouvoirs.

Du berceau au tombeau,
Les conventions balaient l’intuition.
Tes rêves s’effacent,
Il faut changer de direction.

Nous sommes tous des poètes urbains,
Ignorant notre pouvoir certain.
Sisyphe modernes sans le savoir,
Ne t’y trompe pas, ‘y a pas de hasard.

Les corbeaux croassent avec raison,
Langage abstrait, sache déchiffrer.
Choisi ta destination,
Prépare toi à t’envoler.

Nous sommes tous des poètes urbains,
Appelés à vivre selon notre main.
La perspective nous manque et nous retient,
Englués dans nos tourments quotidiens.

Change de rythme, ralentis
Regarde où t’emmène la vie.
Suis ta voie, suis tes envies,
Ressuscite en toi le petit.

Pensées soudaines

Des pensées soudaines surviennent,
Quelle drôle d’apparition.
Je suis à l’aise,
Planant sur mon vélo.
Le ciel est d’un bleu pur,
Je contemple l’horizon,
Porté par le flow,
De mes jambes en action.

Ressens l’unité, avec ton génie,
Fais-toi confiance, comble la distance.
Suis cette voie royale, transcende l’animal,
Vise les étoiles, exprime l’anormal.

Instant fragile de calme,
Interrompu sans bruit,
Par une impression vague,
Une idée qui s’accroche.
La chaussée rouge défile,
Sous mes roues la caressant,
J’aperçois la plage,
M’immerge dans le paysage.

Ressens l’unité, avec ton génie,
Fais-toi confiance, comble la distance.
Suis cette voie royale, transcende l’animal,
Vise les étoiles, exprime l’anormal.

Éparpillées en vacances,
Mes pensées flottent hors conscience.
Une brise d’inspiration persiste,
Son souffle me lance sur la piste.
Mes pieds nus foulent le sable
Et m’emmènent jusqu’au rivage.
Je m’assois et remplit la page,
L’idée se transforme en fable.

Pirate Bandit

Ecoute, grandis,
Pirate Bandit.
Ferme les yeux
Tu n’es pas deux.
Vois au dedans,
En éclairant
Le calme en toi,
La paix s’assoit.

Ecoute, grandis,
Pirate Bandit.
          x2

Ecoute, agis,
Marcheur Esprit.
Fini le temps
Des chenapans.
La route s’ouvre,
Suis les pourtours
Ou mieux encore,
Décolle du bord.

Ecoute, grandis,
Pirate Bandit.
          x2

Ecoute et croîs,
Pilote Pacha.
Vise l’étoile
Tigre du Bengale.
Perce les nuages,
Gare de passage.
Les hautes sphères,
Tu accélères.

Ecoute, grandis,
Pirate Bandit.
          x6

Ecoute ton cœur,
Marin Pêcheur.
Accroche-toi,
Garde la foi,
Rêve toujours.
Éteins le four
L’intérieur flambe,
Reste sur tes jambes.

Ecoute, grandis,
Pirate Bandit.
          x2

Ecoute tes pieds,
Aventurier.
Prêts à partir,
A conquérir
Des territoires
Qui sans hasard
Se dévoileront
De tout leur long.

Ecoute, grandis,
Pirate Bandit.
          x2

Ecoute, partage,
Calme Visage.
Montre la voie,
Expose ta joie.
Tes créations
Attireront,
Spirales montantes,
Terrains d’entente.

Ecoute, grandis,
Pirate Bandit.
          x6

Douleur chocolat

J’ai fourré mon nez dans les fourneaux
Comme on regarde la météo.
D’un œil distrait, sans trop y croire,
J’ai foncé droit dans les déboires.
En bon cuistot, j’ai répété
Tous les classiques du pâtissier.
Du Paris-Brest au Framboisier,
Pas un n’a su me résister.
Inversion brute des perceptions,
C’est bien ma gueule qui touche le fond.
Plaisirs et peines mélangés,
Les saveurs n’en sont que décuplées.

C’est une douleur chocolat,
Elle me coule entre le doigts.
C’est une douleur chocolat,
Elle irradie jusque dans mon foi.
C’est une douleur chocolat,
Je ne peux plus me passer de toi.

J’ai mis les mains dans le pétrin,
Même jusqu’au coude,j’avais très faim.
La pâte a pris, je suis tombé
Dans la marmite des excès.
Je suis atteint comme Obélix,
Les épices ont frappé mes hélices.
A tout jamais contaminé
Par cette cuisine vitaminée,
Mon corps répond en automate
Aux stimuli des aromates;
Effluves nimbant l’horizon,
Parfums limitant ma raison.

C’est une douleur chocolat,
Elle terrasse ma force d’un seul éclat.
C’est une douleur chocolat,
J’y ai succombé plus d’une fois.
C’est une douleur chocolat,
Cette fois je n’y répondrai pas.

J’ai raccroché mon tablier,
Rangé les bols, les saladiers.
Je suis parti à l’aventure
Vers une vie sans fioritures.
La route fut longue et escarpée,
A maintes reprises j’ai trébuché.
Toujours debout et plein d’espoir,
J’ai bien rempli mon réservoir.
J’entends l’appel des continents
Qui s’élève depuis les champs.
J’entends l’appel des océans
Qui tourbillonne dans le vent.

C’est une douleur chocolat,
Qui s’éloigne toujours plus de moi.
C’est une douleur chocolat,
Que j’efface de sang-froid.
C’est une douleur chocolat,
Qui disparaît en hors-la-loi.

Passé dépassé

Plus on avance, plus les années s’effacent.
Le passé disparaît en un éclat de glace.
Fragmenté, transformé, dormant sous carapace,
Patiemment, il attend pour refaire surface.

Passé oh passé, passé dépassé.
Savoir rester, rester détaché
Et quitter ta ceinture de sécurité.
Passé oh passé, complètement fané.
Savoir le laisser se décomposer
Pour que puissent fleurir, fleurir nos pensées.

Un paysage, une phrase, déclenche l’orage
Qui sous nos crânes ravive l’éternel mirage
Flouant nos perceptions comme une brume volage.
Relations colorées, ajustons l’éclairage.

Passé oh passé, passé ressassé.
Apprendre à lâcher, lâcher le passé
A force d’y penser tu manqueras l’été.
Passé oh passé, complètement fané.
Savoir le laisser se décomposer
Pour que puissent fleurir, fleurir nos pensées.

Souvenirs embellis noyés dans nos mémoires,
Jours obscurs hissant haut les voiles de notre histoire
Submergeant nos pensées, larguons là les amarres
Pour voguer loin des côtes, trouver l’île aux miroirs.

Passé oh passé, complètement fané.
Savoir le laisser se décomposer
Pour que puissent fleurir, fleurir nos pensées.

Osez

Trop sensible ou trop faible pour tracer ma route
J’écoutais les autres, s’est immiscé le doute.
Oubliée la passion, rejetée l’intuition,
Égaré sur le pré au milieu des moutons,
Conditionnement ultra-puissant, originaux ostracisés,
La société a enfanté des humains bien domestiqués.

J’ai tout fait mon ami.
J’ai tout fait comme on m’a dit.
J’étais étouffé, oh oui,
Complètement étouffé.

Quelques années d’errance à chasser le fric,
A nier la souffrance, ne trouvant plus de sens.
Se fondre dans la masse, anesthésier ses sens
Consommation intense, intoxicants plaisirs.
Quête d’évasion irrépressible, de la prison de ces désirs
Une existence contradictoire, corps compressé en décalage.

J’ai tout fait mon ami.
J’ai tout fait comme on m’a dit.
J’étais étouffé, oh oui,
Complètement étouffé.

Un bol d’air chaque d’été, quelques pauses en soirée
N’ont pas étanché ma soif de liberté.
Se poser les bonnes questions, se jouer de l’opposition,
S’isoler et mettre le cap, vers de nouvelles directions.
Puis accepter d’abandonner cette apparente sécurité,
Répondre à ses aspirations, retour à la simplicité.

J’ai osé mon ami.
J’ai osé une autre vie,
Sauter du train
Et rejoindre mon utopie.
Osez, osez aussi.

Cette nouvelle liberté à peine épousée
Que petit à petit, j’ai retrouvé l’harmonie.
Énorme vitalité, mental décloisonné,
Fini la cacophonie, naissance d’espoirs infinis,
Une puissance insoupçonnée s’est révélée dans la joie.
Mes rêves fous sont accessibles, ça ne dépend que de moi.

Osez mes amis,
Osez vivre d’autres vies.
Oh oui osez,
Osez aussi.

Transition Balnéaire

Inconscient esclave
Enchaîné par mes peurs,
J’absorbe la lave
Comme une douceur.

Insidieux poison
Brûlant mon intérieur,
Je cède aux pressions
De mes observateurs;

Insensés censeurs
Modelant à la chaîne
Des esprits rieurs
En masse inhumaine.

Comme des oiseaux du Nord,
Telles des tortues marines,
Prenons notre essor
Et migrons vers l’avenir.

Partons ensemble en Transition Balnéaire,
Allons goûter la mer.
Partons ensemble en Transition Balnéaire,
Quittons nos cœurs militaires.
Partons ensemble en Transition Balnéaire,
Foulons le sable désert.

Ambiance citadine,
Ambiance délétère,
J’évacue la haine
Flottant dans l’atmosphère.

Usé par le cycle
De mes pensées amères,
Je quitte la ville
Afin d’y voir plus clair.

J’ai besoin d’espace et d’air,
De forêts millénaires,
Pour laver ces sphères
Qui m’oppressent et m’enferment.

Comme des oiseaux du Nord,
Telles des tortues marines,
Prenons notre essor
Et migrons vers l’avenir.

Partons ensemble en Transition Balnéaire,
Allons goûter la mer.
Partons ensemble en Transition Balnéaire,
Quittons nos cœurs militaires.
Partons ensemble en Transition Balnéaire,
Foulons le sable désert.
Place à de nouvelles hauteurs
Qui stimulent nos ardeurs.
Place à de nouvelles hauteurs
Qui accordent nos cœurs.

Étincelles de Mer

Je suis sur la plage,
C’est la première baignade de l’année.
Tout près du rivage,
Je regarde le soleil.
Des étincelles de mer
Illuminent l’horizon esseulé,
Diamants éphémères
Qui s’évanouissent sans fin.

Les étoiles scintillantes
Focalisent toute mon attention.
Guirlandes émouvantes
Qui surgissent comme des illusions.
Elles dansent jusqu’au lointain,
Trait d’union entre mer et ciel,
Paysage marin,
Crépitant sans relâche.

La mer est un miroir,
Tout le monde vient s’y contempler.
Les étoiles sont des espoirs
Qui rythment nos destinées.
La mer est un miroir,
Ses vagues viennent nous emporter.
Étincelles de Mer, Étincelles de Mer

La mer est un miroir,
Même le soleil vient s’y refléter.
Les étoiles sont des espoirs
Qui guident nos volontés.
La mer est un miroir,
Ses vagues viennent nous emporter.
Étincelles de Mer, Étincelles de Mer

Le large est impalpable
Mais attire inexorablement,
Son calme implacable
Me projette dans un état transcendant.
Invisible frontière
Qui enchante mes perceptions.
Entre l’eau et la terre
Mon corps fait le plein d’inspiration.

La mer est un miroir,
Tout le monde vient s’y contempler.
Les étoiles sont des espoirs
Qui rythment nos destinées.
La mer est un miroir,
Ses vagues viennent nous emporter.
Étincelles de Mer, Étincelles de Mer

La mer est un miroir,
Même le soleil vient s’y refléter.
Les étoiles sont des espoirs
Qui guident nos volontés.
La mer est un miroir,
Ses vagues viennent nous emporter.
Étincelles de Mer, Étincelles de Mer

Jardin sur la Mer

J’ai un Jardin sur la Mer,
Les dunes sont mon vestiaire,
Les pins mes colocataires.
J’entends les mouettes voltiger
Et les vagues déferler
En un irréel ballet.

Dans mon salon, le sable
Surgit tel un animal,
Invité indomptable
Qui de tout temps se glisse
Dans la moindre interstice
Comme un grain de malice.

Dans mon Jardin sur la Mer,
Il n’y a pas de réverbère.
Dans mon Jardin sur la Mer,
Je peux dormir par terre.
Dans mon Jardin sur la Mer,
Seule la lune m’éclaire.
Dans mon Jardin sur la Mer,
Je vis libre comme l’air.

Depuis mon balcon princier,
J’entends le vent souffler
Sur les mâts des voiliers.
J’aperçois le désert,
Sable nu éphémère
S’offrant à la lumière.

A travers les persiennes
Des chambres aériennes,
Se dessinent des cieux amènes,
Portant les cerfs-volants
De ces joyeux enfants,
Vifs et libres comme le vent.

Dans mon Jardin sur la Mer,
Les plantes prolifèrent.
Dans mon Jardin sur la Mer,
Sentez ce poumon vert.
Dans mon Jardin sur la Mer,
Venez le cœur ouvert.
Dans mon Jardin sur la Mer,
Tout le monde s’y régénère.

Maître du Chill

Surfer sur les vagues du Nord,
Rouler sur les chemins dès l’aurore,
Sans remous et sans effort
Je flotte à travers le décor.
J’érige le Chill en art de vivre,
De la détente pour une bonne entente,
Quiétude et calme en toute mesure,
Fini l’ennui et les attentes.

Je suis le Maître du Chill,
Certains se consument comme des piles.
Je suis le Maître du Chill,
Toujours en parfait équilibre.
Je suis le Maître du Chill
Fougueux brasier qu’on ravive.

Jouer en toute insouciance,
Onduler en rythme avec aisance,
Tel un navire de plaisance
Je mets le cap sur Byzance.
Comment chiller et avancer,
Équilibre subtil, gestion d’attitude,
Discipliné et décontracté
Pour embrasser toutes mes aptitudes.

Je suis le Maître du Chill,
Certains se consument comme des piles.
Je suis le Maître du Chill,
Toujours en parfait équilibre.
Je suis le Maître du Chill,
En toute circonstance équanime.
Je suis le Maître du Chill,
Toujours en parfait équilibre.
Je suis le Maître du Chill,
En toute circonstance équanime.
Je suis le Maître du Chill,
Je suis le Maître du Chill,
Je suis le Maître du Chill,
Fougueux brasier qu’on ravive.

Nos pas Synchronisés

Nos pas Synchronisés impriment des empruntes parallèles,
Chemin improvisé nous emmenant vers la mer,
Entre l’eau et le sable, oeuvre vivante éphémère
Balayée par les vagues, retour au nu originel.

Nos ombres s’évanouissent, ensevelies par la marée.
Seules nos têtes dépassent, nécessité d’inhaler.
L’air pur remplit nos bronches, nous soûlant jusqu’au cœur,
Ivresse naturelle, dissolvant toutes nos peurs

Dansons sur la plage,
Courrons dans les vagues,
Nageons tous à poil,
Libérons nos âmes.

Dans le sens du courant nous voguons tels des voiliers,
Emportés par la houle nous dérivons vers le levant.
Le vent souffle dans nos ailes, on va bientôt décoller,
S’envoler vers le ciel, atteindre le firmament.

Dansons sur la plage,
Courrons dans les vagues,
Nageons tous à poil,
Libérons nos âmes.

Nos peaux sèchent au soleil, des gouttes ruissellent sur tes seins,
Rayons éblouissants, revigorant nos appétits
Pour de tout petits riens et pour l’infini aussi.
La liberté m’habite, je la laisse s’exprimer sans fin.

Sunset sur Plage déserte

Not a single cloud in the sky
Seule l’écume des vagues blanchit l’horizon.
Not a single plane in the air,
Seuls les cris des mouettes volent à l’unisson.
Not a single boat on the sea,
Seules les planches à voile glissent sur l’eau.
Not another soul on the beach,
Seul le vent des dunes caresse ma peau.

C’est un Sunset sur Plage déserte,
C’est le spectacle des éléments,
Chorégraphie cosmique du vivant.
C’est un Sunset sur Plage déserte,
C’est la beauté au naturel
Des majestueux cycles éternels.
Sunset, Sunset
Sunset, Sunset

Seul astre qui brille, le soleil m’éblouit.
Les yeux vers le ciel, je capte ses rayons de vie
Dont mon corps se délecte et puis s’étourdit.
La mer à son tour m’attire et j’obéis
Aux élans de mon cœur qui me poussent à l’envie
De plonger dans les vagues de cette eau qui guérit.

C’est un Sunset sur Plage déserte,
C’est le spectacle des éléments,
Chorégraphie cosmique du vivant.
C’est un Sunset sur Plage déserte,
C’est la beauté au naturel
Des majestueux cycles éternels.
C’est un Sunset sur Plage déserte,
Ce sont les rêves qui recommencent
Dans ce cocon ouvert de silence.
Sunset, Sunset
Sunset, Sunset